Dossier de presse no. 3326-02

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Dossier de presse - Communiqué de presse - Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec

Dossier de presse | no. 3326-02

Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas

Montréal, Canada

Université du Québec

Montréal, Canada, 28-04-2023 - 

L’Université du Québec à Montréal (UQAM), l’Acfas et le Partenariat du Quartier des spectacles sont heureux de présenter la vidéoprojection Matière à réflexion, qui prendra vie du 2 mai au 8 juin 2023 sur l’immense façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM. Inscrite dans le cadre du 100e anniversaire de l’Acfas, l’œuvre est conçue à partir de 13 images lauréates du célèbre concours La preuve par l’image que l’association organise.

 

Matière à réflexion met en scène des représentations visuelles issues d’une diversité de recherches scientifiques qui forment autant de portes d’entrée sur l’univers fascinant des connaissances. Saisissantes, intrigantes ou poétiques, ces images capturent une réalité complexe et invitent à la découverte du monde qui nous entoure, de l’infiniment petit à la grandeur de l’univers. La beauté qui en émane constitue à la fois un éloge aux sciences et à la curiosité de même qu’un appel à en savoir davantage sur ce qui est révélé derrière l’image.


Visionner l’aperçu vidéo

 

Une exposition pour découvrir les images de plus près

Pour les personnes mordues de sciences ou simplement curieuses, les 13 images formant le corpus de la projection et leur légende descriptive seront présentées à travers une exposition dans le hall du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM, tout au long du mois de mai.

 

Encore plus de preuves par l’image

Consacré aux images issues de recherches scientifiques dans tous les domaines de connaissances, le concours La preuve par l’image est organisé par l’Acfas depuis 2010 et s’est étendu à l’échelle canadienne en 2016, grâce à la collaboration du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada. Pour en savoir plus.

 

Une collaboration pour montrer la science autrement

La projection Matière à réflexion est issue d’une collaboration inédite entre l’UQAM, dont le Service des communications a effectué la direction artistique, l’Acfas, qui a fourni les images avec la participation des chercheuses et chercheurs, et le Partenariat du Quartier des spectacles, qui a agi à titre de producteur. Reconnu pour sa créativité et son expertise en scénographie et projections architecturales, le studio de création mirari a été retenu pour la conception et la réalisation de l’animation.

Fiche technique

Nom : Matière à réflexion
Date : Du 2 mai au 8 juin 2023, tous les jours dès la tombée de la nuit jusqu’à 23 h
Emplacement : Façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM, 201, avenue du Président-Kennedy, Montréal

Direction artistique et gestion de projet : Service des communications de l’UQAM en collaboration avec l'Acfas

Coproduction : Université du Québec à Montréal (UQAM) et Partenariat du Quartier des spectacles

Réalisation et animation : mirari

À propos de L’UQAM

L’UQAM est une université publique de langue française dont le rayonnement est international. Au cœur de la ville, au centre de l’évolution de Montréal et du Québec, elle met à contribution ses expertises pour faire face aux enjeux qui touchent notre planète. L’originalité et les caractéristiques propres de ses quelque 300 programmes d’études, ses activités de recherche ancrées dans les préoccupations sociales et ses innovations en création ont concouru à bâtir sa renommée. En 2023, elle comptera 300 000 diplômées et diplômés qui œuvrent dans toutes les sphères d’activités.


À propos de l'Acfas 

L’Acfas, qui célèbre son 100e anniversaire jusqu’en juin 2023, fait rayonner les savoirs comme moteur de développement de nos sociétés en rassemblant les actrices et acteurs de la recherche au sein de la francophonie. Résolument tournée vers l’avenir, elle est un puissant vecteur de démocratisation et de communication scientifique. Elle valorise les chercheuses et chercheurs de toutes les disciplines ainsi que l’excellence en recherche.


À propos du Partenariat du Quartier des spectacles

Le Quartier des spectacles a 20 ans. Cœur culturel de Montréal, il offre la plus forte concentration et diversité de lieux de diffusion en Amérique du Nord et accueille un grand nombre de festivals et d’événements. Il propose des installations urbaines innovantes qui font appel à des disciplines d’avant-garde telles que le design d’éclairage, la conception d’environnements immersifs et d’espaces numériques interactifs. Vitrine des nouvelles technologies multimédias, le Quartier des spectacles positionne Montréal comme une référence internationale dans le domaine.


Créé en 2003, le Partenariat du Quartier des spectacles est un organisme à but non lucratif qui regroupe plus de 85 membres sur le territoire. Il veille à l’effervescence du Quartier des spectacles par la programmation d’activités culturelles, à la gestion et à l’animation des places publiques, à la mise en lumière du Quartier et à sa promotion à titre de destination culturelle incontournable. Le Partenariat bénéficie du soutien de la Ville de Montréal.


À propos de mirari

Fondée en 2015 à Montréal, mirari imagine des espaces, des installations et des œuvres qui transforment la perception du public. Notre équipe de créateurs et de créatrices tire ce savoir-faire de sa profonde expérience dans le monde des arts vivants. 

 

Contacts média

UQAM

Frédérique Tremblay-Ouellet
Conseillère en communication
Division des relations avec la presse et événements spéciaux
Service des communications
514 978-4799
tremblay-ouellet.frederique@uqam.ca

 

Acfas

Marie-Josée Gauvin

Relations de presse

mjgauvin222@gmail.com

514 247-0088

 

Partenariat du Quartier des spectacles

Mélanie Mingotaud
Communications Mingotwo  
melanie@mingo2.ca  
514 582-5272 


Merci d’indiquer les légendes et sources. 

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Pour plus d’informations

  1. salledepresse.uqam.ca/communiques-de-...
  2. uqam.ca/
  3. www.acfas.ca/
  4. www.quartierdesspectacles.com/fr/
  5. mirari.art/

Contact média

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Projections UQAM - Matière à réflexion - Teaser
Crédit vidéo : Université du Québec à Montréal (UQAM)
Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">Cartographier les inondations</p><p class="">Clément Besnard</p><p class="">UQAR - Université du Québec à Rimouski</p><p class="">Finaliste de l’édition 2015, La preuve par l'image</p><p class="" style=""><br></p><p class="">La rivière Mitis coule ici au centre d’un paysage qu’elle a façonné au cours de milliers d’années. En migrant sur la plaine du Bas-Saint-Laurent tout en l’inondant, elle a « érodé » son chemin en faisant voyager des tonnes de sédiments. À l’aide de cartes produites par télémétrie laser aéroportée, les chercheurs interprètent les formes de ce paysage pour déterminer les limites des zones inondables (lignes blanches). Ce type d’imagerie présente la surface terrestre en 3D sans la végétation et sans les infrastructures humaines. Cela fait ressortir de manière extraordinaire la complexité des surfaces qui ont évolué depuis près de 12 000 ans. Les chercheurs raffinent ainsi leur compréhension des divers types de zones inondables afin de contribuer, entre autres, à une meilleure gestion du territoire. </p><p style=""> </p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Cartographier les inondations

Clément Besnard

UQAR - Université du Québec à Rimouski

Finaliste de l’édition 2015, La preuve par l'image


La rivière Mitis coule ici au centre d’un paysage qu’elle a façonné au cours de milliers d’années. En migrant sur la plaine du Bas-Saint-Laurent tout en l’inondant, elle a « érodé » son chemin en faisant voyager des tonnes de sédiments. À l’aide de cartes produites par télémétrie laser aéroportée, les chercheurs interprètent les formes de ce paysage pour déterminer les limites des zones inondables (lignes blanches). Ce type d’imagerie présente la surface terrestre en 3D sans la végétation et sans les infrastructures humaines. Cela fait ressortir de manière extraordinaire la complexité des surfaces qui ont évolué depuis près de 12 000 ans. Les chercheurs raffinent ainsi leur compréhension des divers types de zones inondables afin de contribuer, entre autres, à une meilleure gestion du territoire. 

Crédit photo : Nathalie St-Pierre
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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">Lumière sur le relief terrestre</p><p class="">Guillaume Légaré-Couture, </p><p class="">INRS - Centre Eau Terre et Environnement </p><p class="" style="">Finaliste de l’édition 2021, La preuve par l'image</p><p class="" style=""><br></p><p class="">La technologie LiDAR est une méthode de télédétection consistant à mesurer des distances de manière ultraprécise en illuminant une cible à l’aide d’un faisceau laser et en captant sa réflexion. Montée à bord d’un aéronef, cette technologie permet de reconstruire numériquement le relief terrestre et de découvrir ainsi les éléments dissimulés sous la canopée. Les applications vont de la cartographie des zones inondables à la détection de vestiges archéologiques. L’image présentée ici dévoile les méandres de la rivière Ouelle, près de Saint-Pacôme, ainsi que divers éléments géomorphologiques tels des affleurements rocheux (masses foncées) et des plages sableuses formées par d’anciennes mers. (Colorisation d’un modèle de relief ombré à illuminations multiples dérivé d’un levé LiDAR (Light Detection and Ranging) aéroporté)</p><p class="" style=""> </p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Lumière sur le relief terrestre

Guillaume Légaré-Couture,

INRS - Centre Eau Terre et Environnement

Finaliste de l’édition 2021, La preuve par l'image


La technologie LiDAR est une méthode de télédétection consistant à mesurer des distances de manière ultraprécise en illuminant une cible à l’aide d’un faisceau laser et en captant sa réflexion. Montée à bord d’un aéronef, cette technologie permet de reconstruire numériquement le relief terrestre et de découvrir ainsi les éléments dissimulés sous la canopée. Les applications vont de la cartographie des zones inondables à la détection de vestiges archéologiques. L’image présentée ici dévoile les méandres de la rivière Ouelle, près de Saint-Pacôme, ainsi que divers éléments géomorphologiques tels des affleurements rocheux (masses foncées) et des plages sableuses formées par d’anciennes mers. (Colorisation d’un modèle de relief ombré à illuminations multiples dérivé d’un levé LiDAR (Light Detection and Ranging) aéroporté)

Crédit photo : Nathalie St-Pierre
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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p style="">Globule d'énergie<br> Denise Chabot</p><p class="">Agriculture et Agroalimentaire Canada</p><p class="" style="">Finaliste de l’édition 2019, La preuve par l'image</p><p class="" style=""><br></p><p class="">Voici une coupe d’une graine de Brassica napus (canola). De toutes petites graines d’à peine 2 millimètres de diamètre qui ont fait du Canada le plus grand producteur mondial d’huile de canola. Développée au pays, cette variété de colza contient une grande quantité de globules d’huile (en vert) et de protéines (en rouge). Ce sont des réserves d’énergie qui servent au développement de la plante. Les recherches se poursuivent pour développer des cultures de canola plus productives et plus durables. (Taille de l’image : 70 µm x 74 µm, microscopie confocale)</p><p class="" style=""> </p><p class="" style=""> </p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Globule d'énergie
Denise Chabot

Agriculture et Agroalimentaire Canada

Finaliste de l’édition 2019, La preuve par l'image


Voici une coupe d’une graine de Brassica napus (canola). De toutes petites graines d’à peine 2 millimètres de diamètre qui ont fait du Canada le plus grand producteur mondial d’huile de canola. Développée au pays, cette variété de colza contient une grande quantité de globules d’huile (en vert) et de protéines (en rouge). Ce sont des réserves d’énergie qui servent au développement de la plante. Les recherches se poursuivent pour développer des cultures de canola plus productives et plus durables. (Taille de l’image : 70 µm x 74 µm, microscopie confocale)

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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">Un éboueur qui roule sur l'or</p><p class="">Weimeng Ding et Ariel Wilson</p><p class="">Polytechnique Montréal</p><p class="">Finaliste de l’édition 2016, La preuve par l'image</p><p style=""><br></p><p class="">Voici un macrophage (en bleu), une cellule du système immunitaire en train d’engloutir de minuscules pépites d’or (en jaune) sur la surface d’une rétine de rat (mauve). Depuis peu, ces nanoparticules d’or sont utilisées afin de cibler des cellules et d’y acheminer des médicaments de façon localisée. Toutefois, cette technique est peu utilisée dans l’œil, un organe complexe et fragile. C’est pourquoi l’observation de cet éboueur rétinien en pleine action, rarement capté à si petite échelle, représente un coup de chance inouï. Et c’est une indication rassurante que les nanoparticules d’or ne risquent pas de s’accumuler dans l’œil… puisque les macrophages sont là pour faire le ménage. (Grossissement 15 000 x - Microscope électronique à balayage et colorisation)</p><p class="" style=""> </p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Un éboueur qui roule sur l'or

Weimeng Ding et Ariel Wilson

Polytechnique Montréal

Finaliste de l’édition 2016, La preuve par l'image


Voici un macrophage (en bleu), une cellule du système immunitaire en train d’engloutir de minuscules pépites d’or (en jaune) sur la surface d’une rétine de rat (mauve). Depuis peu, ces nanoparticules d’or sont utilisées afin de cibler des cellules et d’y acheminer des médicaments de façon localisée. Toutefois, cette technique est peu utilisée dans l’œil, un organe complexe et fragile. C’est pourquoi l’observation de cet éboueur rétinien en pleine action, rarement capté à si petite échelle, représente un coup de chance inouï. Et c’est une indication rassurante que les nanoparticules d’or ne risquent pas de s’accumuler dans l’œil… puisque les macrophages sont là pour faire le ménage. (Grossissement 15 000 x - Microscope électronique à balayage et colorisation)

Crédit photo : Nathalie St-Pierre
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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">S’assembler pour composer Manel Ghribi</p><p class="">Université du Québec à Trois-Rivières</p><p class="">Finaliste de l’édition 2018, La preuve par l'image</p><br><p class="">Si cet assemblage peut être confondu avec la chevelure de la statue grecque de l’Apollon du Belvédère, il s’agit en réalité d’un amas de cellules bactériennes (des Bacillus) formant un biofilm. Cette communauté cellulaire de micro-organismes est ici réunie pour composer une structure produisant du bioplastique, biodégradable bien sûr… (Largeur de l’image : 9,2 millimètres; microscopie électronique à balayage)</p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

S’assembler pour composer Manel Ghribi

Université du Québec à Trois-Rivières

Finaliste de l’édition 2018, La preuve par l'image


Si cet assemblage peut être confondu avec la chevelure de la statue grecque de l’Apollon du Belvédère, il s’agit en réalité d’un amas de cellules bactériennes (des Bacillus) formant un biofilm. Cette communauté cellulaire de micro-organismes est ici réunie pour composer une structure produisant du bioplastique, biodégradable bien sûr… (Largeur de l’image : 9,2 millimètres; microscopie électronique à balayage)

Crédit photo : Nathalie St-Pierre
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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">Pistil et étamine en toute intimité</p><p class="">Youssef Chebli</p><p class="">UdeM - Université de Montréal</p><p class="">Finaliste de l’édition 2015, La preuve par l'image</p><p style=""><br></p><p class="">En collaboration avec : Anja Geitmann UdeM - Université de MontréalVoici une scène de lit végétal mettant en vedette Arabidopsis thaliana, un organisme modèle en recherche fondamentale. Son organe reproducteur mâle, l’étamine (en orangé), est responsable de la formation du gamétophyte mâle. Ce pollen atterrit sur le stigmate du pistil (vert foncé) et se rend jusqu’aux ovules enfouis dans les ovaires (vert pâle). En plus d’assurer la pérennité des plantes, ce processus est essentiel à la genèse des fruits et des graines que nous consommons. Les chercheurs de ce laboratoire souhaitent éclaircir le processus de fécondation afin d’améliorer la reproduction végétale, la production de semences, et mieux comprendre la biodiversité du vivant. Image prise en microscopie électronique à balayage.</p><p> </p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Pistil et étamine en toute intimité

Youssef Chebli

UdeM - Université de Montréal

Finaliste de l’édition 2015, La preuve par l'image


En collaboration avec : Anja Geitmann UdeM - Université de MontréalVoici une scène de lit végétal mettant en vedette Arabidopsis thaliana, un organisme modèle en recherche fondamentale. Son organe reproducteur mâle, l’étamine (en orangé), est responsable de la formation du gamétophyte mâle. Ce pollen atterrit sur le stigmate du pistil (vert foncé) et se rend jusqu’aux ovules enfouis dans les ovaires (vert pâle). En plus d’assurer la pérennité des plantes, ce processus est essentiel à la genèse des fruits et des graines que nous consommons. Les chercheurs de ce laboratoire souhaitent éclaircir le processus de fécondation afin d’améliorer la reproduction végétale, la production de semences, et mieux comprendre la biodiversité du vivant. Image prise en microscopie électronique à balayage.

Crédit photo : Nathalie St-Pierre
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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain - <p class="">Soleil microbien</p><p class="">Léa Museau </p><p class="">Université de Sherbrooke </p><p class="" style="">Finaliste de l’édition 2021, La preuve par l'image</p><p class="" style=""><br style=""></p><p class="">Ce faux soleil est un biofilm, une communauté bactérienne « soudée » par une matrice de sucres et de protéines. La rencontre de deux espèces – Bacillus subtilis et Staphylococcus aureus – produit cette structure très résistante à l’eau. Le staphylocoque doré est responsable de la couleur jaune… et de diverses infections chroniques chez l’humain. Ces dernières sont parfois difficiles à traiter, car S. aureus résiste à plusieurs antibiotiques. Comment contrer cette résistance? Des chercheurs et chercheuses font le pari suivant : modifier génétiquement B. subtilis pour la rendre capable de neutraliser sa comparse. (Largeur estimée : 10 mm | Stéréomicroscopie)</p> - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Soleil microbien

Léa Museau

Université de Sherbrooke

Finaliste de l’édition 2021, La preuve par l'image


Ce faux soleil est un biofilm, une communauté bactérienne « soudée » par une matrice de sucres et de protéines. La rencontre de deux espèces – Bacillus subtilis et Staphylococcus aureus – produit cette structure très résistante à l’eau. Le staphylocoque doré est responsable de la couleur jaune… et de diverses infections chroniques chez l’humain. Ces dernières sont parfois difficiles à traiter, car S. aureus résiste à plusieurs antibiotiques. Comment contrer cette résistance? Des chercheurs et chercheuses font le pari suivant : modifier génétiquement B. subtilis pour la rendre capable de neutraliser sa comparse. (Largeur estimée : 10 mm | Stéréomicroscopie)

Crédit photo : Nathalie St-Pierre
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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">Mars tire son chapeau à l’Arctique </p><p class="" style="">Éloïse Brassard, UdeS - Université de Sherbrooke</p><p class="">Finaliste de l’édition 2022, La preuve par l'image</p><br><p class="">Voici des glaciers entourés de formations rocheuses en fausses couleurs, sur l’île Axel Heiberg au Nunavut. Notez les zones jaunes-orangées, ce sont des « chapeaux de fer ». Ces dépôts de surface, riches en fer oxydé, témoignent d’un milieu acide, propice à l’établissement de certaines formes de vie. On y rencontre aussi un minéral dont la structure cristalline peut conserver des traces de vie : la jarosite, un biomarqueur retrouvé sur la planète Mars! À partir d’analyses au sol, la chercheuse explore une méthode pour repérer ces chapeaux sur des images satellites de l’Arctique canadien; un savoir qui sera appliqué aux images satellites de la planète rouge. (Image satellitaire traitée pour mettre en évidence les diverses formations rocheuses | Imagerie © Maxar Technologies 2019)</p><br><br>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Mars tire son chapeau à l’Arctique

Éloïse Brassard, UdeS - Université de Sherbrooke

Finaliste de l’édition 2022, La preuve par l'image


Voici des glaciers entourés de formations rocheuses en fausses couleurs, sur l’île Axel Heiberg au Nunavut. Notez les zones jaunes-orangées, ce sont des « chapeaux de fer ». Ces dépôts de surface, riches en fer oxydé, témoignent d’un milieu acide, propice à l’établissement de certaines formes de vie. On y rencontre aussi un minéral dont la structure cristalline peut conserver des traces de vie : la jarosite, un biomarqueur retrouvé sur la planète Mars! À partir d’analyses au sol, la chercheuse explore une méthode pour repérer ces chapeaux sur des images satellites de l’Arctique canadien; un savoir qui sera appliqué aux images satellites de la planète rouge. (Image satellitaire traitée pour mettre en évidence les diverses formations rocheuses | Imagerie © Maxar Technologies 2019)



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Dossier de presse | 3326-02 - Communiqué de presse | Émouvoir par la science : Matière à réflexion, une nouvelle vidéoprojection sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l’UQAM pour le 100e anniversaire de l’Acfas - Université du Québec - Design urbain -  <p class="">Les origines célestes du grésil </p><p class="">Mathieu Lachapelle, UQAM</p><p class="">Finaliste de l’édition 2022, La preuve par l'image</p><p class="" style=""><br></p><p class="">Janvier 2020. Un épisode de grésil frappe Montréal. Des cristaux de glace microscopiques, en forme de colonnes hexagonales, accompagnent les précipitations. Sous le point de congélation, une goutte de pluie gèlera rapidement si elle entre en collision avec l’un de ces cristaux, pour ensuite former une bille de glace transparente appelée grésil. L’analyse des photographies du 11-12 janvier, conjuguée aux données recueillies par un pluviomètre optique, révèle que la concentration de cristaux était assez élevée pour causer le gel de toute la précipitation pluvieuse à une altitude d'environ 500 m. Grâce à ces minuscules colonnes hexagonales, larges comme un cheveu, Montréal a probablement échappé à un épisode dommageable de pluie verglaçante. (Superficie couverte par la photographie : 1 cm x 2 cm | Taille des cristaux : entre 100 et 200 μm)</p><p class=""> </p>  - Crédit photo : Nathalie St-Pierre

Les origines célestes du grésil

Mathieu Lachapelle, UQAM

Finaliste de l’édition 2022, La preuve par l'image


Janvier 2020. Un épisode de grésil frappe Montréal. Des cristaux de glace microscopiques, en forme de colonnes hexagonales, accompagnent les précipitations. Sous le point de congélation, une goutte de pluie gèlera rapidement si elle entre en collision avec l’un de ces cristaux, pour ensuite former une bille de glace transparente appelée grésil. L’analyse des photographies du 11-12 janvier, conjuguée aux données recueillies par un pluviomètre optique, révèle que la concentration de cristaux était assez élevée pour causer le gel de toute la précipitation pluvieuse à une altitude d'environ 500 m. Grâce à ces minuscules colonnes hexagonales, larges comme un cheveu, Montréal a probablement échappé à un épisode dommageable de pluie verglaçante. (Superficie couverte par la photographie : 1 cm x 2 cm | Taille des cristaux : entre 100 et 200 μm)

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