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Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Porte blindée hermétique, élément standard des abris souterrains conçus pour résister aux ondes de choc et, dans le cas des abris nucléaires, bloquer les radiations. Comme tous les objets de l’exposition, elle a été choisie par les commissaires dans le cadre d’un travail de recherche spécifique — à partir de pièces réelles, sélectionnées et réunies spécialement pour ce projet
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Caméra de surveillance installée à l’origine dans le Pavillon, désormais volontairement exposée et encadrée dans l’exposition — son regard fonctionnel devient ainsi présence curatoriale
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Ici, gestes anciens et modernes — placer une bougie à la fenêtre, installer une alarme incendie — sont présentés côte à côte, révélant le lien continu entre rituels ancestraux et protocoles de sécurité contemporains
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Une bouteille scellée dans le mur, contenant les signatures des ouvriers et un journal — une tradition ancienne de laisser une trace dans le bâtiment pour la postérité, une pratique toujours vivante aujourd’hui
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
L’exposition du Pavillon de la Pologne explore la continuité entre les rituels anciens et les pratiques de sécurité contemporaines — allumer une bougie bénite en cire d’abeille ou encadrer un extincteur sont deux gestes dictés par le même besoin humain de protection
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Graphiques explicatifs de Maciej Siuda illustrant l’usage d’un extincteur — dessins fonctionnels intégrés à l’installation dans une réflexion sur la sécurité et les gestes du quotidien
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Un véritable fusible du système électrique du Pavillon — habituellement dissimulé — ici volontairement exposé et encadré, transformé en composant à part entière de l’installation
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Le véritable loquet utilisé pour fermer l’entrée principale du Pavillon de la Pologne aux Giardini, ici encadré et exposé à l’entrée de l’exposition — un geste qui transforme un élément fonctionnel en symbole de sécurité
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
Le Pavillon de la Pologne à la Biennale d’architecture de Venise 2025
Zachęta – National Gallery of Art
Un fer à cheval trouvé, suspendu en forme de ‘U’ pour que la chance ne s’échappe pas — présenté ici dans un dialogue ouvert, sans jugement, entre gestes rituels, mythes vivants, normes de sécurité et besoins émotionnels
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Jacopo Salvi, Zachęta archive
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
L'île Verte vue par hélicoptère en décembre 2024. Marquées par une importante variation de sa population – les résidents permanents étant au nombre d’une cinquantaine seulement — ce territoire insulaire semble évoluer en marge du reste du territoire québécois, dans une bulle temporelle où les moyens et les besoins sont extrêmement spécifiques. En hiver, les glaces dans le Fleuve bloquent l’accès à l’île par traversier. Autrefois, un pont de glace permettait de relier l’île à la terre ferme. Mais avec le réchauffement climatique, les résidents doivent désormais transiter pendant cinq mois par hélicoptère pour aller sur la terre ferme, y faire leurs emplettes, voir leurs proches ou participer à des activités sociales. Tout comme les générations précédentes, la population de l’Île Verte doit ainsi trouver de nouvelles façons de s’adapter.
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Alexis Boivin
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Les architectes de l’Atelier Pierre Thibault et les étudiants stagiaires de l’Université Laval de Pierre Thibault ont été appelés à côtoyer le territoire de l’Île Verte au fil de ses saisons. Située dans le fleuve Saint-Laurent, cette île de quatorze kilomètres de long se définit par ses plages rocheuses battues sans relâche par les vents du Nordet, par ses falaises surplombant le vaste horizon de l’estuaire et par une courtepointe de prairies pastorales et de forêts denses d’épinettes.
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Alexis Boivin
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Au fil des visites sur Île Verte et des échanges avec les Verdoyants, douze bâtiments captivants furent (re)découverts. Appelés boucaneries, ces constructions vernaculaires inspirées des fumoirs ont été construites entre les années 1920 et 1980 de manière à ce qu’elles résistent aux conditions climatiques particulièrement rudes du territoire.
Crédit photo :
Alexis Boivin
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
La pêche à la fascine était pratiquée autrefois sur l'Île Verte. La pêche et fumage du poisson étaient une activité économique et culturelle importante sur l’Île Verte.
Crédit photo :
Jean-Marie Cossette
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
La pêche à la fascine était pratiquée autrefois sur l'Île Verte. La pêche et fumage du poisson étaient une activité économique et culturelle importante sur l’Île Verte.
Crédit photo :
Jean-Marie Cossette
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
La pêche à la fascine était pratiquée autrefois sur l'Île Verte. La pêche et fumage du poisson étaient une activité économique et culturelle importante sur l’Île Verte.
Crédit photo :
Jean-Marie Cossette
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Autrefois lié à la pêche à la fascine, le fumage du poisson était une activité économique et culturelle importante sur l’Île Verte.
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Mireille Caron
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Appelés boucaneries, ces constructions vernaculaires inspirées des fumoirs ont été construites entre les années 1920 et 1980 de manière à ce qu’elles résistent aux conditions climatiques particulièrement rudes du territoire. Prenant la forme de bâtiments sans fenêtre et aux proportions élancées verticalement, les boucaneries sont par la suite tombées en désuétude, les lois sur l’hygiène et le déclin de la pêche ne justifiant plus leur utilisation. Depuis, le vent, la neige et la pluie détériorent continuellement ces structures symboliques pour lesquelles aucun nouvel usage n’avait été trouvé.
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Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Un rapport produit en 2023 par l’architecte Pascal Létourneau, spécialisé en conservation patrimoniale, souligne que, sur douze fumoirs, quatre présentent une valeur patrimoniale exceptionnelle, et six une valeur patrimoniale élevée : leur verticalité, leur ouverture faitière, le système de baratins et leur mécanisme de contrôle de l’humidité sont des caractéristiques architecturales importantes à conserver. Malheureusement, la moitié des fumoirs sont dans un état de détérioration avancé, voire dans un état critique ou à risque, l’un d’eux s’étant même effondré il y a quelques années.
Crédit photo :
Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
De manière à soutenir le désir des Verdoyants de conserver ce patrimoine bâti et d’assurer sa pérennité, l’Atelier a entrepris un projet de design participatif visant à identifier de nouveaux usages pour ces boucaneries. Au cœur de la démarche : Comment des témoins du passé pourraient-ils enseigner l’avenir ?
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Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Carte d'autosuffisance alimentaire. Afin de faire un état des lieux en matière de résilience, les architectes ont révélé les initiatives existantes des Verdoyants envers leur communauté en matière d’autosuffisance alimentaire en produisant une carte de l’île. Parmi les activités identifiées : la pêche aux harengs et éperlans par Jacques, la production hebdomadaire d’une vingtaine de miches de pain au soja par Marie-Claire, l’élevage d’un troupeau de vingt agneaux par Anne et Charles, le poulailler de Michelle, le semencier collectif de Geneviève, les mets préparés et les viennoiseries de Nolwen et Régis, le miel, la lavande, les porcs, les framboises et les citrons de Véronique et Colin, la production d’ail par Mijanou et la serre de Gilbert qui produit des tomates.
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Atelier Pierre Thibault
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Dessin. Comment des témoins du passé pourraient-ils enseigner l’avenir ?
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Pierre Thibault
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Dessin. Comment des témoins du passé pourraient-ils enseigner l’avenir ?
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Pierre Thibault
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Dessin. Comment des témoins du passé pourraient-ils enseigner l’avenir ?
Crédit photo :
Pierre Thibault
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Maquettes des boucaneries. Un laboratoire d’idées en milieu insulaire pour identifier des nouveaux usages
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Pierre-Ulric Gagné
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
L’architecture éphémère pour révéler de nouvelles relations entre le paysage, la volumétrie, les usages et la population
Crédit photo :
Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
L’architecture éphémère pour révéler de nouvelles relations entre le paysage, la volumétrie, les usages et la population
Crédit photo :
Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Légères et facilement transportables, les installations ont été déplacées de la grève aux champs et aux prairies, à la manière de créatures nomades et évocatrices.
Crédit photo :
Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
L'équipe de l’Atelier Pierre Thibault et les étudiants stagiaires de l'Université Laval.
Crédit photo :
Alex Lesage
L’intelligence collective au cœur de l’adaptation à la Biennale d’architecture de Venise : L’Atelier Pierre Thibault et des résidents de l’Île Verte réinventent les boucaneries
Atelier Pierre Thibault
Légères et facilement transportables, les installations ont été déplacées de la grève aux champs et aux prairies, à la manière de créatures nomades et évocatrices.
Crédit photo :
Alex Lesage